La qualité de l'air est un enjeu majeur pour notre santé
La pollution de l'air a des conséquences néfastes sur notre respiration et notre oxygénation cellulaire (mille milliards de cellules en ont un besoin constant), ce qui affecte notre santé globale, jours après jours. Elle nous touche tous, de façon discrète sans que nous ayons conscience de son importance.
La pollution de l’air en quelques chiffres
En France, la pollution de l’air extérieur c’est :
> 48 000 décès prématurés par an, soit 9 % de la mortalité en France et une perte d’espérance de vie à 30 ans pouvant dépasser 2 ans
> 30 % de la population atteinte d’une allergie respiratoire
Les impacts de la pollution de l’air sur notre santé
C’est avant tout l’assimilation tissulaire de l’oxygène, indispensable à la vie cellulaire, qui se trouve réduite par de nombreux facteurs toxiques et pathogènes :
- Les particules physiques en suspension dans l’air, les poussières non arrêtées par les cils vibratiles, avec pour conséquences les problèmes respiratoires et cardiaques, asthme et allergie…
- Les molécules chimiques (oxyde de carbone, gaz carbonique, gaz sulfureux, gaz sulfurique, ammoniac, chlore, oxyde d’azote, etc.) qui peuvent passer dans le sang, prendre la place de l’oxygène et causer l’hypoxie : maux de tête, troubles du sommeil, problèmes de concentration, maladies dégénératives...
- Les micro-organismes, microbes, virus, acariens, etc… vecteurs de maladies.
Et ces notions s’appliquent aujourd’hui, aussi bien au citadin qu’à l’homme vivant en plein air et touchent particulièrement les personnes fragiles et les enfants.
Agir pour préserver une bonne oxygénation et se protéger de la pollution
La solution Bol d’air Jacquier
Cette méthode permet d’utiliser les propriétés oxygénantes d’un extrait de résine de pin en transformant ses parties volatiles en porteurs d’oxygène, pour créer un nébulisat.
D’une part l’hémoglobine se charge plus aisément de ce transporteur que de l’oxygène seul. D’autre part, l’oxygène ainsi transporté est plus facilement libéré dans les tissus en hypoxie et capté par les cellules. Certains toxiques comme le monoxyde de carbone ne peuvent plus pénétrer dans le sang.
L’organisme est simplement et naturellement mieux oxygéné, sans risque de stress oxydatif lié au déficit ou à l’excès d’oxygène.